mercredi 29 avril 2009

La grippe porcine est-elle une arme biologique?

par Paul Joseph Watson

Mondialisation.ca, Le 29 avril 2009
Prison Planet


Il existe certains indices qui suggèrent que la grippe porcine qui tue actuellement des gens au Mexique pourrait être une arme biologique, mais il est évidemment trop tôt pour tirer de telles conclusions. L'Organisation mondiale de la santé (l’OMS) et le gouvernement des États-Unis ont été prompts à réfuter de telles allégations [2].


La grippe porcine est-elle une arme biologique?

Le virus de la grippe porcine est décrit comme étant complètement une nouvelle souche de grippe, un mélange intercontinental de virus humain, aviaire et porcin. Pourtant, il n'y a eu aucune infection de porcs au A-H1N1 qui ait été rapportée.

Selon une source [3] connue de l'ancien fonctionnaire à la National Security Agency (NSA), Wayne Madsen, « Un éminent scientifique de l'Organisation des Nations Unies, qui a étudié le déclenchement du virus meurtrier Ebola en Afrique, ainsi que les victimes du VIH / sida, a conclu que le H1N1 possède certains « vecteurs » de transmission qui suggèrent que la nouvelle souche de grippe a été génétiquement fabriquée en tant qu'arme de guerre biologique militaire.

Madsen affirme que sa source de même qu’une autre [source] en Indonésie « sont convaincus que l'actuelle épidémie causée par une nouvelle souche de la grippe porcine dans certaines régions du Mexique et des États-Unis, est le résultat de l'introduction d'un agent pathogène humain fabriqué qui pourrait entraîner une vaste pandémie mondiale, avec des conséquences potentiellement catastrophiques sur les voyages et les échanges commerciaux nationaux et internationaux. »

Toutefois, il est important de souligner qu'il est encore trop tôt pour affirmer cette hypothèse. Nous devons garder à l'esprit que le nombre de victimes est relativement faible si l'on considère le fait que des centaines de milliers de personnes au Mexique contractent chaque année, des maladies infectieuses liées à la pauvreté comme la tuberculose et la malaria [4].

Fort Detrick, là où se trouvent les installations du centre de commandement médical de l’US Army et qui est à l’origine des attaques à l’anthrax de 2001, attire à nouveau les soupçons au sujet de la panique entourant la grippe porcine après qu’il eut été révélé que des enquêteurs sont en train de déterminer si des échantillons de virus ont récemment disparus de ses laboratoires de recherches.

« Chad Jones, porte-parole de Fort Meade, dit que le Commandement des enquêtes criminelles de l’US Army enquête sur la possibilité que des échantillons de virus soient manquants de l'US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USARMRIID)», selon The Frederick News [5].

En février, l’USAMRIID interrompait leur travail lorsqu’on a découvert que des échantillons de virus étaient absents des inventaires. Les enquêteurs de crimes de l'US Army Criminal Investigation Division, une unité de Fort Meade, enquêtent actuellement à savoir si des échantillons de virus sont manquants dans le plus important laboratoire biologique de l’US Army. Ce laboratoire fait également des études sur des agents pathogènes tels que le virus Ebola, l'anthrax et la peste.

De toute évidence, à la lumière de l'actuelle crise de grippe porcine et de la possibilité que la nouvelle souche soit d’origine synthétique, le fait que des échantillons de virus puissent avoir disparus du même laboratoire de recherche de l'Armée d’où est sortie la souche d’anthrax de 2001, est extrêmement préoccupant.

Une enquête conjointe du FBI et du ministère de la Justice de 2008 a conclu que Bruce Edwards Irvins, un microbiologiste, « vaccinologue » et chercheur senior dans le domaine de la biodéfense à la United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID) à Fort Detrick au Maryland, était responsable d’avoir posté de l'anthrax aux membres du Congrès et aux médias en septembre et octobre 2001.

Le fait que Irvins se soit apparemment suicidé peu de temps avant que soit faite cette annonce a amené plusieurs personnes à croire qu'il était le bouc émissaire d’un vaste complot. Malgré les circonstances suspectes, aucune autopsie n’a été effectuée sur le corps de Irvins. Son avocat était certain que Irvins, qui a coopéré tout au long des 6 années qu’a duré l’enquête, était innocent des cinq décès reliés à l’anthrax.

Le ministère de la Justice a d’abord considéré le Dr Steven Jay Hatfill comme un important suspect dans les attaques à l’anthrax, mais il a par la suite poursuivi le gouvernement et il a reçu 5,8 millions de dollars en dommages et intérêts. Un article du New York Times [6] au sujet du suicide de Irvins posait l’hypothétique question : « Que ce serait-il produit si le Dr Hatfill s’était suicidé en 2002, tel que le craignaient ses amis? Est-ce que les enquêteurs auraient alors publié leur conclusion et déclaré que l'auteur était mort? »

Les craintes qu'une gigantesque pandémie était en train d’être concoctée a couru dans la communauté des conspirationnistes depuis le 11 septembre 2001. Les chercheurs soulignent que l’inhabituel nombre très élevé de décès parmi les meilleurs microbiologistes [7] laisse croire que les personnes ayant eu connaissance de ce programme sont éliminées.

Article original en anglais : Is Swine Flu A Biological Weapon?

Traduction libre de Dany Quirion pour Alter Info

Articles de Paul Joseph Watson publiés par Mondialisation.ca

dimanche 26 avril 2009

InsoumisTV





http://www.mogulus.com/lesinsoumis


24 avril : Les différents enjeux de l'eau (3h45min)
25 avril : Voir l'eau différemment (2h45min)

Rediffusions des soirées le 28 et 29 avril à la même heure.


http://www.mogulus.com/lesinsoumis

lundi 20 avril 2009

Confirmation du danger des OGM pour la fécondité humaine et la sécurité sanitaire




Mondialisation.ca,

1118588-1430439.jpg?v=1227357825En Autriche, une étude de longue durée sur l’alimentation, commissionnée par l'Agence de la Santé et de la Sécurité Alimentaire, gérée par le Ministère fédéral de la Santé, de la Famille et de la Jeunesse, et réalisée par l'Université Vétérinaire de Vienne, entérine le fait que le maïs génétiquement modifiés affecte gravement la qualité de la reproduction chez la souris. Les défenseurs du sans OGM, qui ont averti de cette stérilité en lien avec d'autres risques de santé, demandent désormais l’interdiction immédiate de tout aliment et culture génétiquement modifié, pour protéger la santé de l'humanité et la fécondité dans le monde entier.

Selon cette étude conduite à l'Université de Médecine Vétérinaire de Vienne, l'alimentation des souris avec du maïs génétiquement modifié, mis au point par Monsanto Corporation aux Etats-Unis, a entraîné une baisse de natalité et du poids corporel. L’auteur principal de l'étude, le professeur Zentek, signale l’existence d’un lien direct entre la baisse de la fécondité et le régime aux OGM, et la reproduction plus performante des souris nourries au maïs naturel.

Dans cette étude de longue durée, les scientifiques autrichiens ont effectué plusieurs tests sur plus de 20 semaines, avec des souris de laboratoire nourries avec un régime contenant 33% d'une variété d’OGM (NK 603 x MON 810), et [, pour le groupe des souris témoins,] une variété naturelle, non modifiée, étroitement apparentée, utilisée dans nombre de pays. Une diminution significative statistiquement de la population des portées et du poids des petits a été constatée à la troisième et quatrième portée des souris nourries d’OGM, par rapport au groupe témoin.

Le maïs est modifié avec des gènes produisant une toxine pesticide, ainsi que des gènes permettant la survie aux épandages de l'herbicide Roundup de Monsanto.

Genetic Roulette, un livre de l'écrivain scientifique Jeffrey M. Smith distribué aux membres du Congrès l'année dernière, documente 65 atteintes graves à la santé du fait des produits génétiquement modifiés, notamment des problèmes similaires de fertilité avec des OGM de soja et de maïs : la progéniture des rats nourris de soja modifié génétiquement montre une mortalité multipliée par cinq, un poids de naissance inférieur et l'incapacité à se reproduire. Les nouveaux spermatozoïdes des souris mâles nourris de soja modifié génétiquement sont endommagés. Chez la progéniture des souris nourries aux OGM de soja, l’ADN de l’embryon a une physiologie altérée. Plusieurs agriculteurs étasuniens ont signalé la stérilité ou des problèmes de fécondité chez les vaches et les porcs nourris avec des variétés de maïs modifié génétiquement. En outre, au cours des deux derniers mois, des enquêteurs en Inde ont informé de problèmes de fertilité, d’avortements, de naissances prématurées, et d'autres graves atteintes à la santé, incluant des morts chez les buffles nourris de produits aux graines de coton modifiées génétiquement.

Les principales cultures génétiquement modifiées sont le soja, le maïs, le coton et le colza. Un OGM de betterave à sucre sera aussi introduit avant la fin de l'année.

M. Smith, qui est également directeur exécutif de l'Institut pour la Technologie Responsable a déclaré : « Les aliments génétiquement modifiés sont probablement responsables de plusieurs tendances de santé négatives aux États-Unis. Le gouvernement doit imposer l’interdiction immédiate de ces cultures dangereuses. Le consommateur n’a pas à trinquer en attendant l'action gouvernementale. Il peut télécharger la version gratuite d’un Guide d’Achat Non-OGM sur www.HealthierEating.org. »

Hier, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, les bureaux de presse de Monsanto, ont été incapables d’avancer le moindre commentaire sur les conclusions des journalistes.

Aux États-Unis, la campagne Healthier Eating (mangeons plus sain) de l'Institut pour la Technologie Responsable, mobilise les citoyens, organismes, entreprises, et médias, pour atteindre le point de non retour du rejet des OGM par le consommateur.

Cet institut éduque les gens sur les dangers certifiés des OGM pour la santé, et leur fournit des choix de produits sains, sans OGM.

Il avise aussi les décideurs et le public du monde entier de l’impact des OGM sur la santé, l'environnement, l'économie et l'agriculture, et des problèmes liés à la recherche actuelle, à la réglementation, aux pratiques des entreprises, et à la couverture médiatique.


Article original en anglais, Study Confirms Genetically Modified Crops Threaten Human Fertility and Health Safety, OpEdNews, le 13 novembre 2008.

Traduction : Pétrus Lombard pour Alter Info

dimanche 19 avril 2009

Les OGM sud-africains victimes d'un bug, la récolte est condamnée

Mondialisation.ca, Le 14 avril 2009


Trois variétés de maïs OGM Monsanto sont victimes d'un bug en Afrique du Sud. La récolte des 82 000 hectares concernés est condamnée.
Maïs OGM Afrique du Sud

Une simple erreur de manipulation en laboratoire pour le semencier, un échec de la biotechnologie pour les écolos. Pas vraiment de quoi rassurer les populations, à l'aube d'une crise alimentaire sévère...

Les agriculteurs sud-africains n'en reviennent toujours pas. 82 000 hectares de maïs génétiquement modifiés achetés à Monsanto ne produisent rien. D'aspect extérieur, les plantes paraissent en bonne santé : aucune trace de maladie ou de malformation. Mais les grains ne sortent pas. Ce phénomène concerne trois variétés de maïs, dans trois provinces sud-africaines.

Une erreur en laboratoire peut aujourd'hui provoquer une famine. Monsanto a avoué un problème lors du "processus de fertilisation en laboratoire", qui concernerait un tiers des agriculteurs ayant acheté les semences. La firme a aussi annoncé qu'elle indemnisera les paysans pour les pertes subies, sans en avoir encore évalué le coût. Un directeur de Monsanto en charge de l'Afrique, Kobus Lindeque, a déclaré que sa compagnie allait "revoir les méthodes de production de graines pour les trois variétés impliquées, et que des ajustements seraient effectués". Sous vos applaudissements...

Jusqu'à 80% des productions anéanties

Sur 1000 agriculteurs qui ont utilisé les semences modifiées, 280 déclarent avoir subi des dommages, jusqu'à 80% de la récolte pour certains. Mais Marian Mayet, directrice du Centre Africain sur la Biosécurité (Johannesburg), conteste les chiffres, elle demande l'ouverture d'une enquête indépendante et un moratoire immédiat sur toutes les cultures OGM.

Monsanto dit qu'ils ont fait une erreur de laboratoire, mais nous disons que c'est la technologie elle-même qui est un échec. Il est impossible de faire une 'erreur' avec trois variétés différentes de maïs" a-t-elle déclaré.

L'Afrique du Sud est un précurseur en matière d'OGM, ayant autorisé la culture et la consommation du maïs transgénique. Monsanto au même moment que les Etats-Unis. Le gouvernement n'impose aucune législation particulière, ni au niveau de la production, ni au niveau de l'étiquetage.

Le maïs est, en Afrique du Sud, un des produits les plus consommés. La faiblesse de la récolte de cette année menace l'équilibre alimentaire de la région.

Les trois variétés de maïs OGM sont censées, selon les brochures de Monsanto, lutter contre les mauvaises herbes et augmenter les rendements. Raté !!!!

La poussière des ruines du World Trade Center contenait un mélange aluminothermique actif



Article complet sur:

Mondialisation.ca, Le 14 avril 2009




samedi 18 avril 2009

Crise écologique : les OGM ont commencé à tuer !

Posté par Neo Trouvetou le 16 avr 2009 dans Blog Note" rel="category">> Blog Note, Ecologie2 commentaires


Suicide collectif en Inde mais ça n’a pas l’air de passionner les médias vous allez comprendre pourquoi et je compte sur vous pour faire passer l’info…
Près de 1500 fermiers se sont donné la mort collectivement en Inde, dans l’état rural de Chattisgarh, ces dernières semaines. La sécheresse et de mauvaises récoltes sont à l’origine de ce geste de désespoir, ont expliqué des paysans de cette région, qui craignent de ne même pas pouvoir obtenir les graines nécessaires à la prochaine semence. C’est un article du Figaro de ce jour qui l’affirme (sans toutefois préciser la cause réelle qui découlerait selon certains observateurs directement du choix de la culture OGM comme mode de production)

Un responsable de l’association indienne pour l’agriculture, interrogé par le journal anglais the Independent, a reconnu que les suicides d’agriculteurs étaient en hausse en Inde. ” Les gens qui ont prêté de l’argent aux paysans ont créé un cercle vicieux. Ils encouragent les paysans à souscrire à des emprunts mais lorsque les récoltes sont mauvaises, ils n’ont d’autres choix que celui de se tuer”.

De nombreuses études d’opinions montraient que les paysans indiens avait choisit des semences GM – sans aucun doute encouragés qu’ils sont par des stratégies de marketing agressive de la compagnie OGM Monsanto.

Interrogée pour savoir si le défunt était un ivrogne ou souffrait de problèmes sociaux comme l’affirment les responsables pro-OGM, cette assemblée calme et digne explosa de colère. Un des frères d’un paysan suicidé expliqua : “Non ! Non ! Suresh était un brave homme. Il envoyait ses enfants à l’école et payait ses impôts.
Ce sont ces semences “magiques” qui l’ont étranglé. Ils nous vendent ces semences en nous disant qu’elles n’ont plus besoin de pesticides coûteux, mais ce n’est pas vrai. Nous devons acheter les mêmes semences aux mêmes compagnies chaque année. Ca nous tue. S’il vous plait, dites au monde ce qui se passe ici !”


Un article de Néo Trouvetout : http://www.neotrouve.com
Sources : http://www.infosdelaplanete.org/4746/inde-le-genocide-ogm.html
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/04/16/01011-20090416FILWWW00641-1500-fermiers-se-suicident-en-inde.php



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OGM 15 avril 2009
Les OGM de maïs et de soja très peu productifs…

Le maïs et le soja génétiquement modifiés très controversés en Europe, mais largement utilisés aux Etats-Unis depuis leur commercialisation en 1996, ont peu amélioré les rendements de ces cultures, indiquent des experts indépendants américains dans un rapport publié mardi.

« Jusqu’ici les performances des cultures génétiquement modifiées pour accroître le rendement sont modestes et ce malgré les efforts considérables mis en œuvre » depuis vingt ans, concluent les auteurs de cette étude de l’Union of Concerned Scientist (UCS), groupe indépendant américain de recherche.

Or l’accroissement de la production est le principal argument avancé par les défenseurs des organismes génétiquement modifié (OGM) qui font valoir que ces cultures seront capables de produire plus pour nourrir les populations des pays en développement.

« Aucune culture transgénique n’a permis un accroissement réel du rendement et seul le maïs Bt a montré dans une certaine mesure de plus grands rendements d’exploitation », ajoutent ces chercheurs dont Doug Gurian-Sherman, principal auteur de l’étude qui s’interroge sur la sagesse de consacrer autant d’investissement dans les OGM qui pourraient en outre présenter des risques environnementaux.

Selon les chercheurs de l’UCS, le soja génétiquement modifié pour résister aux herbicides, culture génétiquement modifiée la plus plantée aux Etats-Unis, «n’a pas accru le rendement réel, ni d’exploitation». Ils ont calculé que la contribution du maïs Bt à l’accroissement des rendements depuis sa commercialisation en 1996 n’a été que de 0,2 à 0,3% par an.

Citant des statistiques du Ministère américain de l’Agriculture, l’étude note que la production moyenne de maïs par acre (0,4 hectare) aux Etats-Unis a été de 28% plus élevée de 2004 à 2008 que durant une période comparable de cinq ans entre 1991 et 1995.

Selon une analyse effectuée par les auteurs du rapport seuls 3 à 4% de ce gain est attribuable aux Maïs Bt ce qui signifie que de 24 à 25% du gain de production à l’hectare ou rendement sont attribuables aux autres méthodes d’amélioration des cultures de maïs. Pour le soja transgénique, dont la production moyenne par acre s’est accrue de 16%, les auteurs du rapport ont estimé que le gain attribuable aux OGM était quasi-inexistant.

Enfin ils soulignent que la production moyenne de blé par acre a augmenté de de 13% environ entre ces deux mêmes périodes de référence. Or, il n’y a pas de blé transgénique commercialisé.

Aux Etats-Unis, le soja génétiquement modifié compte pour 90% des superficies cultivées avec cette culture tandis que pour le maïs cette proportion est de 63%.

Les résultats de cette recherche montrent « qu’il est temps d’examiner plus sérieusement les autres techniques de culture disponibles » pour doper les rendements, jugent ses auteurs préconisant de mettre en application les dernières avancées prometteuses en génomique pour améliorer les qualités génétiques des cultures sans recourir aux OGM.

AFP - Jean-Louis Santini
source : http://ogm.greenpeace.fr

mercredi 15 avril 2009

Vaccination, agression et désinformation


En Angleterre, Jerry Friedman poursuit son employeur suite à son congédiement , parce qu'il ne veut pas se faire vacciner contre la rougeole. Le végétarien évoque la discrimination religieuse pour refuser le vaccin car il est préparé sur des embryons de poulets.

En effet, le vaccin contre la rougeole est cultivé sur des embryons de poulets, tout comme celui de l'influenza (grippe) , de la fièvre jaune et les oreillons, Ces embryons se forment entièrement après 35 heures d'incubation. On peut voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Les oiseaux proviennent d'immenses poulaillers contenant plus de l0 000 po
ules et près de 700 coqs. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, une compagnie pharmaceutique consomme l60 000 oeufs par semaine.

Celui contre l'encéphalite japonaise est pour sa part cultivé dans des cerveaux de souris et des sous-produits de l'abattoir se retrouvent dans plusieurs étapes de fabrication des vaccins. En plus d'être cultivés sur des cellules animales ou humaines de foetus avortés, les vaccins baignent dans du formaldehyde, du phenoxyethanol, du mercure, de l'aluminium, de la gélatine , du serum bovin ou foetal de veau ,de l'albumine provenant de sang humain, de l'aspartame et des antibiotiques. Rien d'étonnant à ce que ces cocktails vaccinaux aient de multiples effets secondaires :douleur au point d'injection, fièvre, courbatures, douleurs articulaires, crises d'asthme ou d'eczéma,allergies, choc anaphylactique, risque de mort subite du nourrison,autisme,méningite, convulsions ,encéphalite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose en plaque, diabète, lupus, polyarthrite rhumatoïde et cancers divers. L'utilisation de vaccins multiples potentialise les risques d'effets secondaires de chaque vaccin et leurs interactions est une bombe à retardement.

Ces sous-produits animaux dans les vaccins comportent un grand risque de contamination virale. Aucun laboratoire ne peut garantir l'asepsie des cellules animales servant à la culture vaccinale. Celui contre la grippe, par exemple, en plus d'être préparé dans un embryon animal peut contenir un virus de la leucémie propre au poulet ( leucose aviaire) et être transmis à l'humain vacciné . Il possède de plus des éléments provenant du cochon car une enzyme tirée de l'estomac de l'animal sépare les cellules en laboratoire. Une découverte par des chercheurs suisses et rapportée dans le Washington Post (9 décembre 1995) fait état d'une enzyme, la "transcriptase renversée ", qui a contaminé des vaccins de la rougeole et des oreillons . Cette enzyme vient des embryons de poulet entrant dans la fabrication des vaccins. Elle a aussi contaminé des vaccins contre la grippe et la fièvre jaune. Cette enzyme est associée avec la présence de rétrovirus, une classe de virus qui peut modifier de façon permanente les gènes.



MERCURE


Le thimérosol, un sel composé d'éthylmercure et de thiosalicylate est un agent de conservation , un additif pour prévenir la contamination bactérienne et fongique (contient 49.6% de mercure ). Il fut introduit dans les vaccins dans les années 30 mais , suite à de nombreuses études sur ses effets secondaires graves, on tend à fabriquer des vaccins n'en contenant plus . Cependant, au Canada, le thimérosol se retrouve encore dans nombre de vaccins dont ceux contre l'hépatite B, la méningite et l'influenza. Ce dérivé mercuriel dans les vaccins est excessivement allergène,cancérigène et toxique car injecté directement dans le sang .Il s'accumule dans le cerveau et affaiblit le système respiratoire, digestif, nerveux et immunitaire. Selon Hugh Fudenberg md , un immunogénéticien de renommée mondiale, un individu ayant recu 5 vaccins consécutifs contre la grippe, a l0 fois plus de chance d'avoir la maladie d'Alzheimer's qu'un individu non vacciné. Ce phénomène s'explique par le fait,entre autre, que le vaccin contient du mercure ainsi que de l'aluminium et que son accumulation atteint les fonctions cognitives du cerveau. Les chercheurs Markesbery's et Ehmanns ont démontré, par des autopsies sur des patients souffrant de la maladie d'Alzeimer's, que le cerveau de ces derniers contenait un taux plus élevé de mercure que ceux ne souffrant pas de la maladie. Cette accumulation de mercure dans les vaccins s'ajoute à celle contenue ailleurs, notamment dans les amalgames dentaires , l'alimentation et certains produits biologiques comme les gouttes ophtalmiques , nasales, les solutions pour lentilles ophtalmiques ou les immunoglobulines.



ALUMINIUM


Selon le concept vaccinal, l'aluminium sert d'adjuvant de l'immunité, en créant une réaction inflammatoire qui augmente la réaction antigène-anticorps. Il entre dans la composition de la majorité des vaccins. On estime qu'un enfant , par les vaccins, reçoit jusqu'à 3.75 mg d'aluminium durant les premiers six mois de sa vie. La forte toxicité de l'aluminium est bien connue : troubles neurologiques et immunitaires. Sa présence dans les vaccins est de plus en plus souvent mise en relation avec l'augmentation des allergies dans le monde. Plusieurs médicaments renferment de l'aluminium. L'aspirine enrobée a 44 mg d'aluminium tout comme certains antiacides ;des médicaments contre la diarrhée ont plus de 600 mg d'aluminium par comprimé.



GÉLATINE


Dans un grand nombre de vaccins la gélatine a une fonction de stabilisateur . C'est un produit fabriqué à partir de débris d'abattoir tels que les cartilages, la peau et les os d'animaux . Prélevé sur des bovins ou des cochons mais aussi sur des moutons (en Australie ). En Europe, la contamination de la gélatine par l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est évoquée et l'utilisation d'os en provenance de pays où un grand nombre de cas d'ESB a été signalé - comme le Royaume Uni et le Portugal - fut récemment interdite. La gélatine dans les vaccins est fortement allergène.



SERUM BOVIN


En octobre 2000, le Département de la Santé de Grande-Bretagne retirait du marché un vaccin polio oral cultivé sur du serum foetal de veau suspecté d'être infecté par le prion de la maladie ESB ou maladie de la vache folle . Le vaccin donné à 11.5 millions d'enfants et d'adultes durant les deux dernières décennies a été préparé avec du serum provenant de vaches anglaises peut-être contaminées. Au Canada , du serum bovin est présent dans le vaccin antipoliomyélitique, ainsi que dans celui contre la rage, la varicelle et l'hépatite A. Lié à l'élevage intensif et à l'horreur des abattoirs, le sérum bovin peut lui aussi être l'hôte de virus qui, lorsqu'ils entrent dans l'organisme humain ,deviennent mutagènes. Le virus de la leucémie bovine (VLB) existe de façon endémique dans les troupeaux américains tout comme un virus génétiquement proche du H.I.V impliqué dans le Sida humain . Ces virus peuvent se transmettent aux humains et provoquer des leucémies.

Le dr. Ryo Harasawa de l'Université de Tokyo au Japon ,le dr. Massimo Giangaspero de l'Université de Milan en Italie ainsi que nombre de leurs collègues d'Allemagne et de Belgique ont détecté le virus de la diarrhée bovine dans plusieurs vaccins - rubéole, influenza, rougeole, oreillons - produits en Europe, aux Etats-Unis et au Japon.

Le serum bovin est utilisé dans plusieurs étapes de la culture cellulaire en laboratoire. Dans le vaccin BCG , le bacille tuberculeux provient du bovin.



MALADIES ET VACCINS


Les effets secondaires graves à court et à long terme des vaccins existent mais demeurent délibérément occultés puisque la désinformation est bien orchestrée . Tous les vaccins, sans exception, ont des effets secondaires négatifs et les monographies fournit par les laboratoires pharmaceutiques les décrivent très bien. Cependant, après leur description, les fabricants émettent souvent la directive : "aucun lien de causalité n'a pu cependant être établie entre ces réactions et la vaccination".

Le vaccin grippal, répété chaque année et donné massivement aux personnes âgées , peut entraîner des réactions de type allergique comme l'urticaire, l'angio-odeme, l'asthme allergique , des maladies neurologiques notamment la paralysie faciale, l'encéphalite, l'encéphalopathie, des troubles de démyélination , la labyrinthite et le syndrome de Guillain-Barré.

Le vaccin de l'hépatite B pourrait être à l'origine, chez l'adulte, d'une augmentation de troubles neurologiques conduisant à la sclérose en plaques, une maladie grave et invalidante . En France, plus de 300 cas de démyélinisations aiguës imputables au vaccin ont été recensés , parmi eux un petit nombre d'adolescents. (Le vaccin lèse la myéline, la gaine des nerfs et cette dégénérescence est le premier symptôme de la sclérose en plaques) Un nombre impressionnant d'articles publiés dans des revues scientifiques font état de sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre l'hépatite B: nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré, névrite optique, conjonctivite, troubles de la vision . Aussi des cas d'arthrite , de rhumatisme, de problèmes de foie, d'asthme et même des décès. Le Pr. Barthelow Classen, connu pour ses travaux sur le diabète de type l, croit qu'il existe un lien entre la vaccination, paticulièrement celui de l' hépatite B et le diabète insulino-dépendant. Dans le New Zealand Medical Journal (mai 1996) il constatait une augmentation de 60% de diabète juvénile après une campagne de vaccination massive contre l'hépatite B entre 1988 et 1991 . Le vaccin de l'hépatite B n'est pas le seul en cause dans cette relation diabète - vaccination. Classen a aussi découvert que l'incidence du diabète en Finlande était stable chez les enfants en bas de 4 ans jusqu'à ce que le gouvernement fasse des changements dans le calendrier vaccinal des enfants.En 1974, 130 000 enfants de 3 mois à 4 ans furent vaccinés contre l'hépatite B et la méningite (de type C). Puis on leur injecta le vaccin contre la coqueluche . Dans les années qui suivirent, il y eut une augmentation de 64% de cas de diabète de type 1 chez les enfants vaccinés.

Le vaccin contre la coqueluche /acellulaire (donné en même temps que ceux de la diphtérie et du tétanos aux enfants) aurait aussi un lien avec le diabète. Ce vaccin contient une toxine sécrétée par un microbe le Bordetella pertussis , une toxine décrite par certains comme un "poison virulent" et ayant un effet désastreux sur le pancréas. Il peut mener aussi à l'hypoglycémie: deux chercheurs allemands, Hennessen et Quast trouvèrent ,en 1979, que sur 149 enfants ayant eu ce vaccin, 59 d'entre eux avaient développé des symptômes de l'hypoglycémie. Des cas de diabète juvénile sont survenus aussi après des vaccinations contre les oreillons et la rubéole.

Le DCaT(diphtérie, coqueluche/acellulaire et tétanos) et sa relation avec l'autisme s'affirme. Après la généralisation de ce vaccin et aussi de ceux contre la rougeole et l'hépatite B, on note une augmentation de l'autisme chez les enfants . Une étude menée par Ray Gallup constate une augmentation de plus de 300% de cas d'autisme entre 1992 et 1997 dans vingt-cinq états américains. De nombreux spécialistes croient de plus en plus que l'affaiblissement du système immunitaire constitue réellement un syndrome chez les personnes autistes, un trouble neuro-immunologique. Plus d'un tiers des enfants atteints présente un nombre réduit de lymphocyte T CD4 et T CD8 , empêchant peut-être leur organisme de fabriquer les anticorps nécessaires pour combattre les virus provenant des vaccins. Le DCaT peut déclencher des crises d'épilepsie , des méningites et créer des encéphalites allergiques induisant à leur tour de l'autisme et autres troubles du comportement. "Les parents d'enfants autistes rapportent couramment des désordres immédiatement après l'inoculation avec le RRO (rougeole, rubéole et oreillons) et le DCaT" a déclaré le Dr. Vijendra Singh, professeur d'immunologie.Ce dernier a publié dans le Clinical Immunology and Immunopathology (1998) une étude sur des enfants autistes qui mettait en évidence qu'une exposition au virus de la rougeole pouvait déclencher une réponse auto-immune interférant avec le développement de la myéline. On note la présence persistante du virus de la rougeole dans l'intestin des personnes autistes. Le Dr. Andrew Wakefield, directeur d'un groupe de recherche au Royal Free Hospital de l'Ecole de médecine de Londres a publié dans le Lancet (février 1998) une étude sur huit enfants qui furent atteints de graves affections intestinales puis devinrent autistes tout de suite après la vaccination RRO.

Le vaccin contre la rubéole peut mener à l'arthrite rhumatoïde. Des recherches indiquent que 41% des femmes vaccinées ont développé des douleurs articulaires, 9% une arthrite transitoire et 5% une arthrite chronique.



MÉNINGITE


La méningite bactérienne est provoquée, selon la médecine scientifique, par 3 germes: les méningocoques, les pneumocoques ( surtout responsables des pneumonies) et les H. Influenzae (type B/ Hib) . Récemment au Québec, de nombreux cas de méningites ont fait leur apparition . L'affaiblissement du système immunitaire des enfants qui reçoivent des doses répétés de vaccins depuis leur naissance n'est sûrement pas étrangère à ce fait.

Le vaccin contre le méningocoque groupes A,C Y et W-l13 combinés comporte des effets secondaires tels que céphalées, malaises ,frissons et fièvre. Le vaccin pneumococcique peut provoquer un érythème et une induration au point d'injection, de la fièvre, des céphalées, un malaise général, des réactions de type allergique comme l'urticaire,l'odème angioneurotique ou une anaphylaxie ainsi que vasculite , éruption cutanée généralisée, arthrite, myalgie et divers troubles neurologiques y compris le syndrome de Guillain -Barré. Celui de l'Haemophilus influenzae (type B/Hib) donné aux bébés de deux mois peut induire des crises convulsives , douleurs au point d'injection, irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée et infection des voies respiratoires supérieures.

En septembre 2000, le journal Observer de Londres, suite à la découverte de documents secrets, faisait état de la mort de 11 personnes suite à une récente vaccination massive contre la méningite de type C. Le vaccin causa l6 500 réactions négatives et quand on sait que seulement de l0 à l5% de ces réactions sont rapportés au Ministère de la Santé ,le nombre d'effets secondaires et de morts est fatalement beaucoup plus élevé. Deux des morts déclarés succombèrent à une "septicémie méningoccal", une infection du sang lié à la méningite. Le vaccin au lieu de protéger , leur donna plutôt la méningite. Plus de l3 millions de bébés, d'enfants et d'adultes ont reçu le vaccin , en Angleterre, durant l'année 1999/2000. On soupçonne même le fabricant du vaccin d'avoir délibérément caché les effets secondaires au grand public et ce avec la complicité de fonctionnaires gouvernementaux responsables de la campagne de vaccination. Deux de ces fonctionnaires faisaient partie du conseil d'administration du laboratoire pharmaceutique fabricant le vaccin. DÉSINFORMATION.


Il y a quelques mois une session d'information pour les parents sur le thème "Pourquoi faire vacciner vos enfants?" se tenaient à l'hôpital Sainte-Justine de Montréal . Elle était présidée par deux pédiatres dont le Dr. Jean-Francois Chicoine et commanditée par la compagnie pharmaceutique Merck Frosst, fabricant de vaccins. Histoire de culpabiliser au maximum les parents , le pédiatre Chicoine déclarait "c'est une grosse responsabilité sociale. On va aussi se faire vacciner pour les autres" . Pourtant, si la vaccination de masse protège et est aussi efficace contre les maladies, comme on veut nous le faire croire, pourquoi avoir peur des non-vaccinés ? Les vaccinés transportant les virus restent bien plus une menace pour les non-vaccinés - comme c'est le cas pour le vaccin contre la polio - que le contraire . Malgré d'innombrables études scientifiques de spécialistes en allergie, en immunologie, en neurologie ainsi qu'en biochimie sur les dangers des vaccins, des pédiatres continuent d'affirmer que la vaccination n'affaiblit pas le système immunitaire , que les risques demeurent mineurs et que la malnutrition ou l'hygiène n'ont rien à voir avec la prévention des maladies.

S'agit-il de mauvaise foi chronique ou d'une triste connivence avec les laboratoires pharmaceutiques ?

Heureusement, de plus en plus de médecins intelligents dénoncent ce dogme vaccinal et osent le remettre en question. Nombreux à nous dire que toutes ces maladies contre lesquelles les enfants sont vaccinés étaient déjà en voie de disparition avant l'administration des vaccins. Plus grave encore, malgré qu'ils aient été entièrement immunisés, des enfants souffrent tout de même de la maladie. Et que tous les vaccins affectent gravement notre système immunitaire , qu'ils possèdent une dangerosité certaine ouvrant la porte à diverses maladies .

Au Japon par exemple, l'incidence de mort subite du nourrisson a chuté de façon drastique dès qu'on a cessé de donner des vaccins aux enfants de moins de deux ans.

La Suède, en 1979, a banni le vaccin contre la coqueluche (pertussis) après la découverte que la maladie frappait des enfants vaccinés et qu'il provoquait des désordres neurologiques . Malgré que les enfants suédois ne soient plus vaccinés contre la coqueluche , le taux de mortalité par coqueluche n'est pas plus grand en Suède que dans les populations vaccinés de d'autres pays. Aux Etats-Unis, selon Susan Ellenberg PhD, directrice de la "Division of Biostatictics and Epidimiology of FDA" ,en 1997 , 43 enfants en bas de 2 ans succombèrent à l'hépatite B. , suite à la vaccination.



IMMUNITÉ NATURELLE


Les enfants québécois reçoivent dès l'âge de 2 mois toute une série de vaccins et de rappels échelonnés sur quelques mois , plus de 18 bouillies chimiques. On vaccine systématiquement contre des maladies rares comme le tétanos, la diphtérie ou l'hépatite B des bébés qui ont autant de chance de les attraper que de gagner à la loterie. Si l'on part à l'étranger, on nous recommande les vaccins de la méningite, de la rage, de l'encéphalite japonaise, de la fièvre jaune, du tétanos, de la typhoïde, trois rappels d'hépatite A , B et un petit dépistage de la tuberculose. De quoi vous rendre malade avant même de mettre le gros orteil dans l'avion.

Au Québec, aucun vaccin n'est obligatoire . Tout individu peut refuser un vaccin et l'obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l'article 1 de la Charte québécoise et à l'article 7 de la Charte canadienne . Lors d'un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d'une "épidémie" de rougeole, les parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l'école jusqu'à ce que se résorbe la dite "épidémie". Aucun vaccin n'est obligatoire pour voyager à l'étranger, excepté celui de la fièvre jaune que certains pays - d'Afrique ou d'Amérique du Sud - peuvent demander si vous venez d'une zone d'endémie. (Sept complications sévères, dont six décès, rapportées après la vaccination contre la fièvre jaune dans la revue médicale britannique The Lancet - juillet 2001 - soulèvent des questions sur la sécurité du vaccin. Au Brésil, une fillette de 5 ans frappée d'une fièvre, de maux de tête, de malaises et de vomissements 3 jours après avoir reçu le vaccin anti-fièvre jaune et le vaccin combiné rougeole,oreillons,rubéole est morte cinq jours après l'innoculation. Le Dr. Michael Martin et ses collègues du Centre américain de contrôle des maladies (CDC, Atlanta) rapportent des complicaitons post-vaccinales ayant affecté quatre touristes américains qui ont entraîné trois décès en 1996 et 1998. Ils suggèrent une relation causale possible avec le vaccins et conseillent de vérifier si les voyageurs se rendent vraiment en zone infestée et de prendre des précautions avant de recommander le vaccin.)

Continuer à vacciner des bébés avec des substances hautement cancérigènes, mutagènes et allergènes et dont le système immunitaire n'est pas encore vraiment développé est consternant. Le système immunitaire ne devient à peu près mature que vers 6-7 ans , continuant d'évoluer jusqu'à l'âge adulte. La complexité de nos mécanismes naturels de défense ridiculise toutes les théories sur la vaccination et elles font partie d'une conception dépassée et erronée de la santé. Notre système immunitaire n'a absolument pas besoin de produits artificiels et chimiques pour se bâtir une immunité. Comment peut-on faire croire à la population qu'un mélange de cadavre d'animal malade, de virus ,de substances toxiques, augmente notre immunité contre les maladies, que cette terrible agression de notre intégrité nous donnera la santé?

Une alimentation saine, une bonne hygiène, entretiennent nos défenses naturelles. Par prévention ou lors de maladies infectieuses de multiples voies naturelles peuvent être envisagées - comme l'homéopathie, l'acupuncture, les plantes médicinales, des cataplasmes d'argile, des apports de vitamines C, A , de zinc, le repos, les messages , les bains tièdes contre la fièvre, une bonne hydratation , le jeûne, etc. Ces thérapies pourront aussi drainer de notre organisme les toxines et poisons de ces trop nombreux vaccins que nous avons reçu depuis l'enfance .Autre fait important, les enfants non-vaccinés, ayant un meilleur système immunitaire, traverseront l'enfance sans parfois jamais souffrir d'aucune maladie infectieuse. (Selon l'expérience personnelle de l'auteure de ces lignes, mon fils maintenant âgé de 24 ans , n'a reçu aucun vaccin et n'a jamais contracté aucune maladie infectieuse de l'enfance, que ce soit la rougeole, la rubéole, la coqueluche ou autre; nous avons faits aussi plusieurs voyages en Inde et au Népal , sans vaccins et sans maladies) .

Pour être vraiment en santé , il faut avant tout ne pas céder à la peur.

Même en n'ayant aucune formation scientifique, nous serons , en tant que parents, voyageurs ou suite aux pressions des médecins et du lobby des multinationales pharmaceutiques, de plus en plus confrontés à nous interroger sur les vaccins. Car pour certains scientifiques, l'avenir appartient aux vaccins. Plus de 200 nouveaux vaccins sont actuellement expérimentés: cocktail de vaccins pris d'une seule dose, vaccin inoculé par voie intranasale ou d'autres génétiquement incorporés dans les fruits et les légumes.

Notre capital santé nous appartient et ne passe pas nécessairement par la dictature des laboratoires pharmaceutiques .

Les fabricants de vaccins ont surtout à coeur leurs profits, pas vraiment notre santé. Et puis, sur des bases éthiques, les vaccins demeurent le symbole sanglant de l'exploitation animale, de la souffrance de ces bovins, ces souris, ces poulets et ces singes sacrifiés sur l'autel de la vivisection. Leurs cadavres souillent à jamais les vaccins.



Marjolaine Jolicoeur, AHIMSA, printemps 2001

Source : AHISMA www.ass-ahimsa.net

Extrait de: www.evolutionquebec.com

mardi 7 avril 2009

Fluor...Fluoride...




9 april 2003, Suisse
: Lors d'un vote au parlement de la ville de Bâle, en Suisse, 73 contre 23 votes l'ont emporté pour arrêter le programme de fluoration de l'eau, en opération depuis 41 ans. Bâle était la seule ville en Suisse qui fluorait l'eau potable, en fait la seule ville continentale de l'Europe de l'ouest, à l'exception de quelques régions espagnoles. Pour plus d'information: Cliquez ici.

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DÉCOUVERTE DU FLUOR
Le fluor (du latin fluere signifiant flux ou fondant) est décrit par Georigius Agricola en 1529 sous sa forme de fluorite comme une substance utilisée pour promouvoir la fusion des métaux ou des minéraux.

En 1670 Schwandhard remarqua que le verre était attaqué lorqu'il était exposé à de la fluorite traitée à l'acide. Karl Scheele ainsi que d'autres chercheurs plus tardifs tel que Humphry Davy Gay-Lussac Antoine Lavoisier et Louis Thenard firent tous des expériences avec de l'acide fluorhydrique (certaines se terminèrent en tragédie en raison de la dangerosité de ce produit).

En 1771, C. W. Scheele a préparé pour la première fois du fluorure d'hydrogène (acide fluoridriqu) en faisant réagir des fluorures avec de l'acide sulfurique concentré.

C'est en 1824 que le fameux chimiste Berzelius prouva l'existence d'un nouvel élément. Mais son isolation causa un problème pendant plus de 50 ans. On proposa le nom de «fluor» pour ce nouvel élément, mais par la suite «Phtor» fut proposé, qui signifie en grec, destructif, car cela semblait être un nom plus approprié pour décrire les propriétés destructrices de cet élément chimique.
C'est tout dire de sa sécurité d'utilisation et de consommation!

La première production commerciale de fluor eut lieu lors de la fabrication de la bombe atomique dans le cadre du projet Manhattan lors de la Seconde Guerre mondiale.

L'hexafluorure d'uranium était utilisé pour séparer les différents isotopes de l'uranium. Ce procedé est d'ailleurs toujours utilisé dans les applications d'énergie nucléaire.


ISOLATION DU FLUOR

Le chimiste français Henri Moissan fut le premier à isoler le fluor, le 26 juin 1886, grâce à sa propre invention, le four à arc électrique. Il en fit de même avec l’uranium, le vanadium et le tungstène. Il reçut le prix Nobel qu’en 1906, une année avant sa mort, pour avoir isolé le fluor.

Le fluor ne date pas du 19e siècle. Certains archéologues disent qu’il était présent à l’origine des plantes et des hommes. Sa présence est surtout associé aux volcans et eaux naturellement fluorées. L’être humain est le seul «animal» qui creuse des puits pour trouver son eau de consommation, et les nappes d’eau découvertes possèdent souvent une forte concentration en ion fluoré surtout dans les régions recevant peu de pluie et les régions volcaniques. Dans son livre «Fluoride and the Aging Factor», J. Yiamouyiannis cite plusieurs endroits sur la planète où des gens meurent jeunes suite à l’empoisonnement au fluor, présent naturellement dans leur eau de consommation.

Le fluor est de masse atomique 9, ce qui veut dire qu’il manque un électron à son orbite extérieure pour être saturé (2 électrons au premier niveau et 7 sur le deuxième). Les autres éléments dans cette position sont le CHLORE 17, le BROME 35, l'IODE 53 et l’ASTATE 85 et sont nommés «HALOGÈNES» qui signifient «formateurs de sel» (fluorure de calcium, fluorure de sodium par exemple).
lien: presselibreinternationale.com


LE LIEN ENTRE LE FLUOR ET L'ALUMINIUM

L'aluminium est un métal blanc, léger, ductile, malléable, s’oxydant peu à l’air (symbole Al, numéro atomique 13, masse atomique 26,98).

Le fluor est un des principaux dérivés de la fabrication de l'aluminium car il est utilisé lors de son raffinement. C'est grâce au fluor que la sidérurgie de ce métal a pris de l'ampleur. C'est sous la forme de cryolite, un des composés naturels de l'aluminium, qu'il est utilisé. Il s'agit d'une roche qui contient à la fois de l'aluminium, du fluor et du sodium (Na3AlF6). Lorsqu'on veut isoler l'aluminium, on obtient un sel comme résidu, le fluorure de sodium (utilisé en fluoration). La raison de la provenance latine fluere de son nom (fluor), est qu'il abaisse le point de fusion de l'aluminium et le rend plus fluide (fluere signifiant fondre, couler).

La production d'une tonne d'aluminium entraîne la consommation d'une tonne de cryolithe, dont environ 20 kg sont perdus par volatilisation dans l'atmosphère (environ 1/3 à l'état gazeux et 2/3 à l'état de particules solides).

Il a fallu rechercher des débouchés lucratifs à ces déchets fluorés. Le lobby industriel et financier a alors financé des études attestant l'innocuité des produits fluorés, et leurs effets bénéfiques à faible dose ont été mis en valeur. Il en a été de même de l'aluminium. Le trust de l'aluminium a longtemps appartenu à la Maison Rockefeller.

Dans cette affaire sont énorme, les effets sanitaires et psychiques ne le sont pas moins. Le fait que l'utilisation du fluor et de l'aluminium ne cesse de se développer depuis les années 50, et cela dans l'indifférence générale malgré les nombreux avertissements lancés par des personnes qualifiées en la matière, prouve bien l'efficacité de l'effet annihilant du fluor sur l'esprit critique de tout à chacun.

Le maintient du statu quo grâce à la désinformation sur des sujets aussi importants alimente l'apathie de la masse somnolente, ce qui ne fait que servir les intérêts de ceux qui détiennent le pouvoir, qu'il soit économique ou politique.

SOURDE OREILLE

On a pu voir en 2002, dans l'actualité, des avertissements de la présence d'aluminium à des doses dépassant de 30 fois la norme dans l'eau de consommation en France. Ces avertissements étaient le fruit d'une étude de l'Institut National de la Santé et de la recherche médicale (INSERM). L'INSERM avait déjà communiqué les premiers résultats de ses recherches en 1994 et en 1996. Toutes ces mises en garde sont restées lettre morte.

Pourtant l'aluminium est un neurotoxique qui peut être à l'origine de démences dégénératives, de fragilisations osseuses ou d'accidents cardiaques, car il s'accumule dans le cerveau, les os et les muscles. Le nombre de malades d'Alzheimer est proportionnel à la quantité d'aluminium dans l'eau potable.

La présence d'aluminium dans l'eau du robinet est le résultat de l'utilisation du sulfate d'alumine, dans les stations d'épuration, au moment de l'opération dite de "floculation" qui vise à purifier l'eau de certaines impuretés, des particules argileuses notamment. D'autres produits aussi efficaces, et inoffensifs, pourraient être utilisés, mais le coût serait supérieur.

Dans les usines de filtration on met de l'aluminium à la poche dans le but de donner une meilleure transparence à l'eau. Mais les usines de traitement de l'eau de consommation qui fluorent, sont obligées à effectuer un traitement pour la précipitation de l'excès de fluor au moyen de chaux ou d'un floc d'alumine.

De plus la présence d'aluminium ne se cantonne pas seulement dans l'eau de nos robinets, mais se retrouve aussi dans les canettes de bière et de sodas, dans les rouleaux d'emballage, dans les casseroles, dans les tubes de sauces et de pâtes dentifrices, les ustensiles de cuisines... L'impact économique et sanitaire d'une confirmation de l'étude citée plus haut serait catastrophique.

La pression des lobbys des industriels, tel que Pechiney, l'un des principaux producteurs français d'aluminium, et de la Lyonnaise des Eaux ou encore de Vivendi (ex-Générale des Eaux) explique la minimisation de l'étude par les différents ministères concernés. Pechiney est une entreprise dont la majeure partie du capital est détenue par des actionnaires institutionnels français (21,9%) etétrangers (48%), ainsi que Suez-Lyonnaise des Eaux (30%; 30%), et Vivendi (24,5%; 45,6%). La panique boursière qu'engendrerait une annonce négative confirmée sur les effets alarmants de l'aluminium sur la santé publique signerait la mise à mort de ces grands groupes, de par la fuite des capitaux qu'elle provoquerait.

Mais Suez-Lyonnaise des Eaux est actionnaire à 34,5% de la chaîne de télévision M6 et à 25% de TPS. Vivendi possède 52,6% de Télé Monte Carlo et 34% de Canal+, qui possède lui-même 70% de Canal Satellite. Voilà démontrée la dangerosité que représente la prise de pouvoir médiatique par les grands groupes industriels. Nous ne sommes pas prêts de découvrir la vérité sur le problème de l'aluminium si nous nous contentons de regarder «Le vrai journal» sur Canal+...


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dimanche 5 avril 2009

L'ère Obamiène ?

Une vision du future